Conclusion
Lire la lumière, c’est la compétence la plus libératrice en photo. Ça ne coûte rien, ne nécessite aucun nouvel achat, et s’applique à tout : rue, paysage, portrait, même votre bol de ramen rue Saint-Anne.
Le jour où vous voyez le monde comme un théâtre de lumières changeantes, vous sortez du mode automatique. Vous anticipez l’image avant qu’elle n’existe.
La prochaine fois que vous sortez, gardez l’appareil au chaud les cinq premières minutes. Regardez la lumière rebondir sur les façades, se faufiler dans les passages couverts, se refléter sur l’eau, puis seulement alors, … déclenchez.




